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C1 PSG : Arsenal : Notes > Quel gachis

Publié le 14 Septembre 2016 à 00h11 par Julien de Toni
Pour sa rentrée en Ligue des Champions face à Arsenal, Unaï Emery a décidé d'aligner un onze encore inédit cette saison avec Areola dans les buts et Matuidi sur l'aile gauche. Finalement tout le monde a plus ou moins fait son travail, sauf un.

Les notes :


Areola (6) : Globalement tranquille pendant la majeur partie de la rencontre il fini par prendre un but sur lequel il est masqué par sa défense et ne peut pas grand chose.

Maxwell (5) : Peu en vue offensivement, il s'est contenté de remplir sa tache défensive correctement.

Thiago Silva (7) : De retour de blessure il n'a rien perdu de son calme et de sa solidité face aux différents Gunners.

Marquinhos (7) : Si le PSG a concédé aussi peu d'occasions il y est grandement pour quelque chose.

Aurier (8) : Un travail de Titan à la récupération et dans sa participation au jeu comme d'habitude et en plus il assure son dernier geste pour délivrer un caviar sur l'ouverture du score.

Krychowiak (5) : Présent dans l'engagement physique il s'est éteint au fil du match pour qu'on retienne surtout ses nombreuses pertes de balles.

Rabiot (6) : A l'image de son début de saison, son travail offensif à la remontée du ballon est précieux, quelques pertes de balles aussi mais pour le coup c'est pas ce qu'on retient.

Verratti (7) : Il a affiché son style d'entrée de jeu en lançant Aurier dans la profondeur dès la première minute pour l'ouverture du score. Sa conservation de balle et sa vision du jeu ont fait souffrir les Gunners jusqu'à son expulsion pour des raisons encore floues.

Matuidi (6) : Quelle horreur pour un joueur de l'avoir dans les pattes tout le match. Aligné à un poste inédit il a encore parcouru des kilomètres, malheureusement dans le dernier geste, peu importe son poste c'est toujours Matuidi.

Di Maria (5,5) : Il a été à l'origine de nombreuses offensives parisiennes et a fait mal grâce à son jeu de passes, notamment sur cette talonnade magique pour Rabiot qui aurait pu se terminer en passe décisive. Il a d'un autre coté été trop souvent brouillon pour un joueur de son niveau.

Cavani (4) : Il sent le football comme peu d'attaquants sur cette planète, il est toujours là ou il faut être, malheureusement pour conclure il est aussi bon que Jean Claude Duss.
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