Luis est revenu sur le "clash", comme aime le dire la presse, qu'il a eu avec Nicolas Anelka :
« J'aime dialoguer et je pense être assez ouvert. Il y a eu un échange entre nous, rien d'anormal. Et pas de mise à pied, je vous le promets. Pas d'altercation non plus. C'est à l'entraîneur de maintenir une autorité et de se faire respecter. La saison dernière, Nicolas avait un statut particulier. Ce n'est plus le cas cette année. Par rapport à ce groupe, qui comporte d'autres internationaux, c'est un joueur comme les autres. Après le match face à Guingamp (1-1), le « doc » m'a dit qu'il avait besoin de suivre des soins pendant soixante-douze heures, peut-être davantage, en raison d'une douleur à l'orteil. Il ne s'est donc pas entraîné de lundi à mercredi. Le jour de notre départ pour l'Ecosse, il était au camp des Loges en salle de musculation. Il n'y a pas eu de coup de gueule ni de discussion. Je ne l'ai pas pris avec nous parce que j'avais un choix à faire. A partir du moment où il ne s'était pas entraîné avec nous, ni n'avait effectué la séance tactique, je ne vois pas ce qu'il pouvait nous apporter à Glasgow. Autant qu'il reste à Paris pour se soigner correctement. Il reviendra quand il sera rétabli. »