"J'ai vu Neymar débarquer à Saint-Tropez avec 23 gardes du corps. Au début, les gens sourient. Ensuite, moins. Parce que cela pose un problème de société, de politique," a commencé par expliquer le président de l'Olympique Lyonnais dans des propos rapportés par l'Equipe.
Enchaînant ensuite sur les ''tensions'' que le transfert de Neymar a procuré : "J'étais assis entre Agnelli, président de la Juventus et Bartomeu, président de Barcelone, j'ai senti un peu d'aigreur, un peu d'envie d'en découdre. Tout le monde craint une inflation totalement déraisonnable des transferts et des salaires. Ce n'est pas une réaction de défense d'intérêts ponctuels, c'est beaucoup plus large que ça. Si le Real voulait absolument Mbappé, il aurait payé. Mais il a estimé que c'était trop," a assuré Aulas, concluant son développement en affirmant que le PSG n'avait pas besoin de Mbappé.