Visiblement, Aulas a du mal à digérer cette opération et espère que l'UEFA va faire quelque chose : "Je pense aussi que l'UEFA ne peut pas laisser les choses comme ça, sur le plan de l'image. Cela devient assez prégnant pour ce sport excessivement populaire. Même s'il y a déjà eu beaucoup d'excès, on avait réussi à remettre les clubs dans le droit chemin. Le football ne doit pas se résumer à une opposition fratricide entre Abou Dhabi (propriétaire de Manchester City) et le Qatar (détenteur du PSG via QSI) d'un côté, et puis de l'autre côté d'avoir des règles où c'est l'argent généré par le savoir-faire des clubs qui vient déterminer leur capacité à être les meilleurs sur le plan sportif. Il y a une prise de conscience qui devrait avoir des lendemains."