"Ce sera la 26ème finale du PSG et la 26ème pour moi. Un chiffre qui me rend fier. Avoir suivi le PSG depuis sa naissance et avoir toujours été au stade... Une finale, c'est un peu comme une petite amie : elle vous laisse des souvenirs ou pas. On n'oublie jamais la première, c'était en 1982, la finale, pas ma petite amie !" a d'abord déclaré le consultant avant de poursuivre sa métaphore.
"Il y a la plus belle, la Coupe d'Europe en 1996. Il y a les plus kiffantes, contre l'OM. Il y a celle qu'on veut oublier, contre Gueugnon, etc. J'ai rendez-vous ce soir avec une finale. Je ne sais pas encore grand chose d'elle, on en parle demain," a-t-il poursuivi.