Le président de la Fifa s'est défendu : "Les règlements du fair-play financier prévoient la possibilité de négociations et d'accords (avec les clubs). Non seulement il n'y a rien d'illégal mais il n'y a rien de contraire (...) J'ai rencontré le PSG et City, comme d'autres, pour trouver un accord, mais la décision finale a toujours été entre les mains du panel juridique, pas les miennes."
Infantino se défend d'avoir favorisé certains clubs dans une interview accordée à plusieurs médias, dont l'AFP : "City et le PSG ont d'ailleurs du payer des amendes de plusieurs millions d'euros. Sur 30 clubs, seuls deux ont été exclus. L'AC Milan, qui a été réintégré par le TAS, et une équipe russe. Quand on parle de favoritisme, c'est une erreur."