Son arrivée coïncide avec l'embellie parisienne. Un pur hasard ? "Quand je suis arrivé, je ne m'attendais à rien de particulier sauf qu'il fallait redresser la barre. (...) Je pensais juste à gagner des matches parce que c'était important pour nous. Il fallait que le PSG se redresse un jour au l'autre et le plus tôt possible."
Où en est le PSG maintenant ? "Cela pousse derrière, ça devient plus serré pour la lutte au maintien. C'était bien de gagner. Mais il ne faut pas se gargariser d'avoir deux victoires de suite. Nice n'est qu'à deux points. Moi, j'élargis la bataille avec tout le monde y compris Auxerre."
Désormais, les erreurs d'arbitrage ne sont plus à sens unique : "Je pense que si Nancy marque ses occasions, ce n'est plus le même match. Il faut se dire aussi qu'il peut y avoir des erreurs d'arbitrage. Je pense que Paris en a souffert par le passé. Si Nancy marque avant, ça devenait un match plus compliqué pour nous.
Contre Athènes, il faudra être attentif : "C'est un match qu'on doit gérer - même avec l'avantage que nous avons. Deux buts, c'est bien mais il faut gérer." Mais les organismes ne vont-ils pas souffrir de ce rythme ? "Personnellement, j'aime bien, ça ne me gêne pas ! Cela ne me pose pas de problèmes particuliers, physiquement, c'est bon."