"Les supporters ont été marqués au fer rouge par de nombreux épisodes. Et lorsque tu es marqué comme cela, tu t'en souviens toute ta vie et tu le sens tout de suite ! Ça marque... Ça pique... Donc dès que tu retombes dans ce genre de situation, tu dois avoir un rappel à l'ordre qui te dit : ‘Lorsque tu joues comme ça avec cette intensité là, on n'y est pas," développe d'abord Obraniak.
"Dans les duels, dans l'envie, on n'y est pas !' Donc ça doit être un rappel constant et j'ai l'impression que ce rappel ne revient jamais ! Tu n'as jamais un mec dans cette équipe qui est capable de dire quelque chose ! Ça n'avance pas... (...) Les absences de Verratti et Thiago Silva ? Oui ils manquent, mais ça ne doit pas être préjudiciable pour battre Dijon," a ajouté l'ancien joueur.