"La première mi-temps n'est pas terrible, mais compte tenu des circonstances, on peut le concevoir. Ils ont 75% de possession. Ils ont plus d'occasions que les Messins. Même si on voit qu'ils peuvent facilement perforer la défense du PSG" a commencé Didier Roustan.
Il pointe cependant du doigt la condition physique des joueurs : "Tu te dis que Paris va l'emporter. Mais en seconde période, alors qu'il doivent augmenter le rythme, ils n'en sont pas capables. Ça devient un maelstrom insipide. Di Maria commence à marquer le coup physiquement, il pèse moins dans le jeu."
Il évoque aussi un facteur chance pour le PSG : "Et là, c'est la série des catastrophes. Il y a un penalty qui peut être accordé au PSG, cette charge violente de Boye avec le coude sur Icardi. Le tacle de Centonze sur Di Maria, tu peux mettre rouge. Tu as l'exclusion de Diallo. Ils se retrouvent à dix les mecs. Après il y a la blessure de Bernat, tu te dis que ce n'est pas possible. La logique voulait que Metz en mette un. Et finalement ça ne finit pas mal."