"Le PSG était une grande marque, mais elle en a pris un coup, notamment à cause des échecs en Coupe d'Europe et de l'attitude démontrée sur certains naufrages collectifs, et pas seulement la remontada. C'est devenu le Disneyland du football, on s'en fout du palmarès, pourvu qu'on ait des stars," a expliqué le patron de l'agence de communication dans L'Équipe.
Pour ensuite évoquer la ferveur marseillaise : "À Marseille, on retrouve ce penchant populaire. Le regain passe forcément par des victoires, après des années à perdre contre n'importe qui et des Classiques à sens unique. Mais l'OM retrouve le cœur de son public, car il le respecte. On l'a vu lors du dernier Classique. Aujourd'hui, le Vélodrome ne comprendrait pas que les joueurs ne soient pas à 120 %, qu'ils ne se défoncent pas."