"Ma position est-elle irrévocable? Oui parce que vous savez, on avait ouvert la porte à la possibilité de vendre le stade à notre club. C'est vrai que dans le modèle économique des grands clubs, ils sont presque tous propriétaires et cet argument, on l'a bien sur regardé," explique Hidalgo.
"On est dans un pays où l'état de droit fonctionne, il y a des procédures. Il y a des prix qui doivent être fixés et doivent correspondre au bien. Quand, à l'issue de tout un processus durant lequel on a discuté et essayé d'évaluer ce que pouvait être le prix du Parc des Princes, le club a proposé 38 millions d'euros... je pense que le mot ‘ridicule' est celui qui convient," lâche la maire.
"On s'est dit qu'il n'y avait plus de chemin possible, arrêtons de discuter pour ne pas arriver à un accord. Et puis on est dans un état de droit. Je ne sais pas si c'est par rapport au Qatar. On est dans un état de droit," ajoute Anne Hidalgo pour RFI.
"Oui c'est vrai que chez nous, les stades ne poussent pas comme des champignons, c'est vrai que vous n'arrivez pas avec un paquet de millions et devenez acquéreur de n'importe quel bien pour n'importe quelles conditions," a-t-elle conclu.