"Vous ne voudriez pas non plus que j'applaudisse des deux mains. Je crois que je vivrais très mal cet éventuel déménagement. Parce que quand je vais au Parc, je revois ceux qui ont tant aimé ce stade et qui sont morts. Je pense par exemple à Borelli, Dogliani, N'Gom ou Sassus," a confié Fernandez dans Le Parisien.
Avant de rajouter : "Et cette pensée me fait vivre comme un déchirement un éventuel départ au Stade de France. Le Parc, c'est un lieu de mémoire. Il ne faut pas vivre dans le passé. Si la condition pour que le club gagne enfin la Ligue des champions, c'est d'aller au Stade de France, alors je dis oui."