Publié le 08 Novembre 2013 à 06h31 par Etienne Grellier
Le PSG accueille Nice au Parc des princes ce samedi à 17 heures. À deux jours de la rencontre, le milieu gauche niçois nous parle de cette affiche.
« Jouer notre jeu »
Alors que son club reste sur deux défaites consécutives en championnat (contre Bastia et Bordeaux), l'ancien dijonnais nous partage son sentiment général avant d'aller à Paris dans les colonnes de Nice-Matin : "Ça s'annonce difficile car le PSG est sur un nuage en ce moment. Mais on y va sans pression. L'objectif, c'est de jouer notre jeu. On ne veut pas se contenter de défendre." C'est apparemment avec la volonté de jouer que son équipe vient dans la capitale. Un match ouvert au Parc ?
Deux équipes revanchardes
Nice reste sur une contre-performance à domicile face à Bordeaux (1-2), une défaite lors de laquelle Nice n'a pas réussi à développer son jeu et a subi l'impact physique bordelais. Paris a concédé le nul en milieu de semaine contre Anderlecht et voudra également se racheter comme le confirme Bauthéac : "On n'arrive pas au bon moment... En fait, je ne sais pas trop s'il y a un bon moment pour aller au Parc."
Un gardien débutant
Pour la rencontre de samedi, Nice ne pourra pas compter sur son gardien titulaire David Ospina et c'est le jeune Luca Veronese (22 ans) qui le remplacera. Le milieu gauche niçois déclare à son sujet : "On a confiance en lui. C'est un bon petit gardien. Il paraît serein pour l'instant. On s'est fixé un challenge tous les deux. Quand je lui ai demandé combien de buts il comptait prendre à Paris, il m'a répondu: zéro. Du coup, s'il y parvient, je lui ai promis un très bon restaurant."
La mauvaise stat niçoise
Les Niçois ont toujours perdu quand ils ont concédé l'ouverture du score. Bauthéac revient sur cette statistique défavorable : "C'est vrai que lorsqu'on prend un but, on se regarde un peu. Il y a un peu de flou. Mais je reste persuadé qu'on va trouver la solution. L'an dernier, un gars comme Renato poussait à se surpasser. C'était un gueulard. Il nous manque, peut-être, à ce niveau-là. Mais ce n'est pas une excuse. Il faut juste qu'on se secoue lorsqu'on encaisse un but. Et il ne faut pas oublier qu'on a rarement eu l'équipe au complet." Les Parisiens savent ce qu'il leur reste à faire.
