"Verratti qui n'a pas sa place au milieu ? J'ai trouvé très malaisant la cérémonie d'adieu de Verratti comme une sorte de parcours obligé par le club qui n'avait pas trop d'autres solutions car il faut appeler un chat un chat c'est le PSG qui le met dehors," lâche le journaliste.
"Effectivement il avait un salaire trop haut mais quand je vois Verratti dans la tribune et Soler aligné contre Nice je me dis que y a quelque chose qui ne va pas," explique Pierre Ménès.
"Le truc c'est de quel Verratti on parle ? C'est un peu comme Neymar si on parle de celui qui est capable de faire des dribbles de dégagement et des passes qui cassent les lignes ou celui qui perdait des ballons dangereux, constamment blessé ou qui prenait des cartons pour contestation," pense le journaliste.
"Je pense que dans ce divorce les responsabilités sont partagées comme je pense qu'il n'est pas revenu à la reprise de l'entraînement avec un entraîneur aussi rigoureux que Luis Enrique, avec la bonne attitude," ajoute-t-il.
"Maintenant à titre perso je regrette beaucoup que Luis Enrique prenne comme un chalenge le fait de remettre Marco dans le droit chemin," regrette Pierre Ménès.
"Un petit mot aussi pour le CUP qui l'acclame après lui avoir dit d'aller se faire enculer devant les bureaux du PSG en juin dernier atteint un niveau de faux cul assez phénoménale," a-t-il conclu.