"Je prends Leonardo pour un employé des Qataris. Je ne prends pas Leonardo pour le patron du Paris Saint-Germain. Leonardo, parfois, donne des idées aux Qataris. Comme Sully avec Henri IV, l'art est de faire croire au patron que c'est lui qui a eu l'idée alors qu'on lui a soufflée. Et je pense que Leonardo souffle quelques idées à ses patrons, des idées qui sont reprises et qui lui sont retransmises. Mais je crois sincèrement qu'aujourd'hui Leonardo est dans la situation d'un employé de Qatar Sports Investments (QSI), point final. Il ne décide rien, ce n'est pas lui qui fait la politique sportive du club." a estimé le journaliste sportif qui relativise donc le pouvoir de celui que beaucoup considèrent comme le nouveau 'patron' du Paris Saint-Germain.