Pour le chroniqueur, le but précoce de Ménez semble avoir contribué à offrir un match sans saveur : "Pendant cinq minutes, le pressing, le jeu tout est bon. Cinq minutes ponctuées d'un but. L'impression est belle. Après cinq autres minutes de « baston », l'OM réplique et va dominer tout le reste de cette première période. C'est simple, Paris joue comme s'il était dans les cinq dernières minutes avec un but à conserver. Le bloc parisien est bas, repoussé par un OM supérieur dans tous les domaines [...] A 1/0 à la pause, Paris s'en tire bien". Pourtant, même s'il a beaucoup subi en première période, le PSG n'a pas véritablement concédé d'occasions franches.
La seconde période s'inscrit dans la continuité et le club parisien peut s'estimer heureux d'avoir su réagir immédiatement après le but qu'il a concédé : "La physionomie du match ne change pas et le début de la seconde période confirme la supériorité marseillaise. L'égalisation d'Ayew est logique et récompense la présence de l'OM dans le camp parisien. Le PSG, comme d'habitude, ne semble capable que de réactions et le but d'Alex sur corner est une aubaine inespérée [...] Paris veut gagner à « l'arrache » et salement. Il paraît que ce genre de match ne se joue pas mais se gagne. C'est bien la seule satisfaction du PSG". Les supporters s'en contenteront, pour le moment.