Dans le journal Le Parisien, le consultant de Canal Plus explique son point de vue : "Tout cela se gagne au fil des années. Quand je jouais avec Lyon en Ligue des champions, nous avons mis du temps pour être aimés. Il faut des éléments plus ou moins dramatiques et spectaculaires pour marquer les gens. Pour Lyon, ce fut un but encaissé en fin de match contre l'AC Milan ou un penalty refusé contre le PSV Eindhoven. La fin de PSG - Barça a été spectaculaire en termes d'émotions. En deux minutes, on est passé de la tristesse à la joie. Cela marque les mémoires. Mais ne soyons pas trop pressés. Paris a encore du temps pour se faire aimer."