"On ne peut pas parler d'addiction au foot mais presque. Je suis tombé dedans en 1976, au moment où l'équipe montait en première division. Quand je suis au Parc, je deviens quelqu'un d'autre : je beugle, je hurle, je saute de joie, on se prend dans les bras quand il y a un but. Bref, je régresse. Je redeviens l'ado que j'étais quand j'avais 17 ans et que je suis allé voir le PSG pour la première fois. A l'époque, je m'étais bricolé une fausse carte de presse et j'arrivais avec mon appareil photo en bandoulière pour voir le match dans la tribune des journalistes," a commenté celui qu'on voit régulièrement dans les travées du Parc des Princes.