Publié le 01 Décembre 2014 à 15h40 par Leah
Malgré son invincibilité le PSG continue d'attiser les critiques et les journalistes préfèrent donc encenser l'Olympique de Marseille. Cette situation semble avoir agacée au plus au point Bruno Roger Petit qui n'a pas hésité à tacler l'ensemble des spécialistes et commentateurs sportifs sur son blog.
Le journaliste est d'abord revenu sur le victoire du PSG face à Nice qui a fait couler beaucoup d'encre : "Une fois de plus, ça fait la fine bouche devant une victoire du PSG. On n'en sort pas. Le club parisien a beau être invaincu, toutes compétitions confondues, deuxième de la Ligue 1 derrière un OM qui bénéficie des effets pervers de la victoire à trois points, déjà qualifié pour les 1/8e de finales de la Ligue des Champions, rien n'y fait. La victoire contre Nice (1-0) est un nouveau prétexte à servir le message du semestre : le PSG n'est pas grand. Et les uns et les autres de continuer à encenser Bielsa, l'homme à la glacière et au survêt' bleu azur, le courageux Gignac, le grand Mandanda, le génial Payet, le redoutable Imbula, tous emblématiques de ce grand OM invincible, géant du football au jeu si léché et si divin. Car il est dit que l'OM joue bien et que le PSG joue mal ! Ainsi en a décidé le cardinal Dugarry lors du dernier dimanche avant la Toussaint, en son homélie du CFC annonçant le PSG-OM de novembre"
Puis, Bruno Roger Petit s'en est ouvertement pris aux journalistes et autres acteurs du football qui encensent constamment l'équipe de Marcelo Bielsa : "On se défie de l'OM de Bernard Tapie, champion d'Europe, mais on aime l'OM de Bielsa et de ses petits joueurs bien de chez nous, vaillants et courageux. Et on critique le PSG, l'équipe de Paris et des riches, du Qatar et de l'argent, d'Ibrahimovic et de Cavani, de Motta et de Silva... Et le PSG a beau battre l'OM, facilement, aisément, peu importe, trois semaines passent et tout est oublié, écrit-il. L'OM, c'est le beau football... L'OM bat Nantes 2-0 et c'est un exploit incomparable, que l'Équipe célèbre comme jamais. Ah bon ?".
