Le quotidien francilien s'est laissé aller à un titre très évocateur pour les Parisiens qui rappelle que depuis l'arrivée des Qataris, aucune grosse écurie n'a été éliminée lors de la phase finale : "Depuis son retour en Ligue des champions il y a trois saisons, le PSG joue au ''si loin, si proche''. Il a éliminé Valence, le Bayer Leverkusen, des bons clubs européens, mais a buté sur Barcelone et Chelsea, deux anciens vainqueurs de l'épreuve reine sur le continent, deux fois en quart de finale," rappelle le journal qui espère bien voir les hommes de Laurent Blanc sortir le grand jeu face à l'adversaire du jour.
Du côté du site officiel du club, un discours ambitieux règne : "Ce sont donc des joueurs déterminés et revanchards que nous avons retrouvés ce mardi matin à l'aéroport du Bourget." Une bonne nouvelle donc, car Chelsea n'a jamais perdu à domicile face aux clubs français.
Le site de l'Equipe nous propose une petite démonstration expliquant par x et y pourquoi les Parisiens peuvent se qualifier ce soir du côté de Stamford Bridge : "1 : Parce qu'il se trouve dans une meilleure position que l'an dernier, 2 : Parce qu'il a un an d'expérience en plus, 3 : Parce que cette fois, Ibra est là, 4 : Parce que Chelsea est prenable." De quoi donner de l'espoir aux supporters parisiens.
Paris doit marquer pour se qualifier ce soir face à Chelse, et bonne nouvelle, Laurent Blanc est bien décidé à inscrire des buts, grâce notamment à Ibrahimovic, qui rappelons le, n'était pas présent la saison dernière : "Zlatan peut marquer à n'importe quel moment," a déclaré l'entraîneur parisien.
A la façon de l'Equipe, Sport24 a analysé les raisons de l'élimination du PSG l'an dernier et les erreurs à ne pas refaire ce mercredi soir : " A vrai dire, le PSG avait été méconnaissable face aux Blues. Se contentant de défendre. En étant sur la retenue, sans chercher à faire mal à l'adversaire, sans donner l'impression de maîtriser quoi que ce soit. Le club de la capitale n'avait fait que subir..." peut-on lire. Une analyse réaliste, qui espérons le, ne se répètera pas ce soir...
