Selon d'Hallivillée, le Paris Saint-Germain ferait "tout ce qu'(il) peut pour que ça se passe bien à travers différentes manifestations, lever de rideau, animation de la vie des associations, luttes contre les discriminations, etc...".
Pour le chargé de la sécurité, "ce sont aux pouvoirs publics de faire leur travail". C'est ainsi que, tout comme le ministre de l'Intérieur, d'Hallivillée a pointé du doigt l'absence d'interpellations suite aux débordement à Auxerre : "ce n'est pas de mon ressort de porter un jugement mais on ne comprend pas" a-t-il déclaré.
Quant aux mesures que Sarkozy veut prendre pour mettre fin à la violence et au racisme dans les stades, Jean-Philippe d'Hallivillée a annoncé que le club était sur la même longueur d'onde : "Oui à la possibilité d'interdire préventivement des personnes qui commettent des actes racistes et on est aussi d'accord avec la dissolution des associations qui posent problèmes".
En conclusion, il a tout de même tenu a rappeler qu'il y-avait bien une "résurgence de la violence" mais que celle-ci n'était "pas lié uniquement au PSG".