"On sent la pression, enfin, je peux plus appeler ça de l'engouement. C'est le petit contre le gros et on n'a rien à perdre. On va essayer de faire ce qu'on sait faire et surtout d'éviter de croire que c'est perdu d'avance. C'est un match de coupe, une finale, et tout peut arriver. On a déjà vu dernièrement qu'on est capables de les battre donc pourquoi ne pas réitérer ce genre de performances ? Surtout pour une finale où, en cas de victoire, le retour risquerait d'être fort sympathique. [...] Ils font partie des huit plus belles équipes d'Europe donc on ne parle pas de n'importe qui, ils ont de grands joueurs et on l'a vu hier. Après, avoir peur, tout est relatif, cela reste des hommes comme nous. Comme je le dis et le répète, on les a déjà battus une fois donc pourquoi pas deux ? On dit que la foudre ne frappe pas deux fois au même endroit mais c'est des conneries ça. On est capables de rebattre le PSG, c'est une certitude. [...] J'ai regardé le match d'hier (PSG-ASSE) et, franchement, je cherchais des failles. Il n'y en avait pas hier. Peut-être sur coups de pieds arrêtés mais tout est possible dans le football. On y va sans peur, on est capables de faire quelque chose à Paris, avec les 30 000 Corses qui vont aller à Paris. C'est déjà le cas avec 15 000 à Furiani donc 30 000, cela peut nous pousser et nous donner des ailes et faire quelque chose d'intéressant pour le club," a précisé Julian Palmieri.