Dans l'After Foot, Riolo a déclaré : "Après la triste prestation de Reims (1-1), on attendait un autre PSG. Et ce qu'on voit dans la première période est effectivement bien différent. D'abord l'équipe est meilleure. Avec un milieu Motta-Matuidi-Pastore, forcément le jeu collectif est plus fluide. Pastore organise, tente, ouvre, crée. L'homme fort, c'est lui. Son but, une frappe lumineuse, délicieuse, confirme l'impression. Devant, Ibra s'est levé du fauteuil dans lequel il était assis à Reims. Ce n'est pas toujours tranchant, mais il bouge ! Mouvement, occasions, jeu : le PSG livre un vrai match. Certes, après une telle domination, on aurait pu voir un écart plus conséquent, mais la première période s'achève sur un 1-0 minimaliste. Etouffé, Guingamp ne peut que défendre et espérer que Paris reste inefficace. La seconde période est nettement moins bonne. Dans le jeu, Di Maria est étrangement absent. On ne voit que Pastore. Le seul à faire avancer la machine. Ibra se remet doucement en mode "grand-mère". Paris attend la 77e pour boucler le match. Une frappe moyenne d'Ibra repoussée sur Di Maria. 2-0. Dans ce match qu'on oubliera vite, il ne manque que le but de Cavani. L'Uruguayen ne fera rien de mieux que de provoquer le péno du 4-0. Avant ça, Ibra a arraché son premier but de la saison. Il ne mettra pas un doublé puisqu'il rate le péno, confirmant ce qu'on voit, un Ibra absolument banal. On a donc vu un match finalement correct. Une première période meilleure que la seconde. Un ensemble supérieur aux trois dernières rencontres. Le trio offensif type est-il toujours Ibra, Di Maria, Cavani ? Franchement, je n'arrive pas à croire que Pastore n'est pas titulaire au PSG."