"Ce sont les petits détails qui font la différence. L'envie lors de l'entame du match, la précision technique, l'expérience, la personnalité... Pour gagner, on a toujours maintenu notre philosophie. Il ne faut pas la changer lors d'un Classico. On est dans un moment positif. Il faut être confiant, avoir la même envie que celle démontrée jusqu'à maintenant. Cela fait la différence", a jugé le latéral de 34 ans, qui devrait être titulaire ce dimanche après avoir cédé sa place à Kurzawa contre Lorient ce mercredi.
L'ancien joueur de l'Inter Milan et du Barça s'est ensuite confié sur les précédentes rencontres face à l'OM, club contre lequel le bilan s'avère plutôt flatteur avec neuf victoires et un match nul : "Chacun de ces matches possède son histoire, mais je pense que celui gagné à dix après l'expulsion de Thiago Motta a été très difficile. Marseille nous a posé beaucoup de difficultés. Ils étaient en supériorité numérique, et avaient ouvert le score. On a ensuite marqué deux fois, et gagné avec beaucoup d'autorité. C'était un match spécial... et ça l'a également été après, dans le vestiaire ! C'est un match qui nous a marqué", a -t-il indiqué. Une rencontre datant d'octobre 2013 et qui avait vu le PSG, à dix contre onze, l'emporter au stade Vélodrome. Après l'expulsion de Thiago Motta à la demi-heure de jeu et l'ouverture du score d'André Ayew sur penalty, c'est Maxwell qui avait relancé ses partenaires en égalisant juste avant la mi-temps. En seconde période, Zlatan Ibrahimovic inscrivait le second but des Parisiens sur penalty et scellait le score du match.