Le journal a rappelé les affaires dévoilées dans leurs différentes éditions : "Neymar visait quelques publications françaises et en premier lieu L'Équipe, coupable à ses yeux d'avoir évoqué les tensions nées lors du ''penaltygate''. Puis sa colère du 20 octobre, lorsque (...) l'entraîneur parisien Unai Emery a ordonné à Neymar de rentrer au vestiaire avec les autres titulaires, alors qu'il voulait continuer la séance. Enfin, (...) la lassitude de l'ancien Barcelonais face aux séances vidéo."
Le quotidien sportif a tenu à réaffirmer ses informations : "''On invente des histoires'', a affirmé hier Neymar, sans dire quelles seraient ces affabulations. Une forme de démenti global, suffisamment imprécis pour ne pas s'exposer à la limpidité des faits eux-mêmes. L'Équipe, évidemment, maintient ses informations."