Les dernières rencontres se sont avérées frustrantes : "Les semaines se suivent et se ressemblent avec la même frustration au bout sur le plan comptable. Le point positif, c'est qu'on n'a rien à regretter sur l'état d'esprit. On bosse bien et ça se répercute sur nos matchs. On a maintenant besoin de réussite pour pouvoir gagner. Ça va tourner, ce n'est pas possible autrement."
Pourtant, à part Lyon, à des années-lumière, aucune équipe n'est hors de portée : "on constate que derrière Lyon, toutes les équipes stagnent et que cela reste ouvert. Le prochain match face à Bordeaux, ça doit être trois points à l'arrivée. On a besoin de retrouver notre souveraineté au Parc des Princes, une enceinte magnifique qui ne demande qu'à vibrer, pour repartir de l'avant."
Perdre autant de points en jouant bien, une situation qui renforce la déception de ses coéquipiers. "C'est un sentiment terrible car sur le terrain, on prend du plaisir en développant du bon jeu et à l'arrivée, on n'est pas payés de nos efforts car on tombe sur des adversaires qui ont 80 voire 100% de réussite. Dans un match, ce qu'on retient avant tout, c'est la victoire et le cri de guerre dans les vestiaires à la fin. Et ça nous manque ! Cela nous manque tellement que ça ne va pas tarder à arriver."