Cette défaite lui a fait mal : "C'est rageant, d'autant plus qu'il y avait la place pour passer. Nous avons traîné comme un boulet notre première période en demi-teinte." Mais les deux buts ont assommé les Parisiens : "Après, c'était vraiment trop difficile de revenir, pourtant nous avons poussé."
Effectivement, le PSG a donné tout ce qu'il pouvait en fin de match : "On ne calculait plus rien. Nous n'avions qu'une idée en tête : l'égalisation. Nous nous sommes procurés quelques occasions dangereuses et sans un grand Richert nous pouvions espérer mieux."
Même si le maintien reste la priorité, la Coupe leur tenait à coeur : "C'était un match de football, une compétition prestigieuse dont le PSG était le tenant du titre. Pour tout cela nous souhaitions vraiment nous qualifier. C'est toujours mieux de disputer des matches de Coupe de France que de regarder les autres devant sa télévision."
L'échéance la plus importante de la semaine sera toutefois samedi : "Ce sera un vrai match pour le maintien, avec tout ce que cela implique au niveau de l'engagement et de l'état d'esprit. Il faudra avoir du cœur et ne surtout pas encaisser de but. J'ai connu cette situation avec Créteil et Nice et cela se joue surtout dans la tête. L'état d'esprit du groupe devra être irréprochable. Individuellement nous sommes supérieurs, à nous de le démontrer."
