"J'espère que les Parisiens vont entrer sur la pelouse avec un petit sourire en se disant : ''On fait un métier extraordinaire''. Car quand tu entres au Camp Nou par exemple, tu regardes autour de toi et tu repenses à tes années d'enfance, de galère... Et là, tu voles, tu n'es jamais fatigué. J'aurais pu jouer trois matchs d'affilée en 1995. Tu es captivé. Tu es porté par tout ça. Et dans un coin en haut du stade, il y avait des supporters parisiens qu'on n'entendait pas du tout, mais tu savais qu'ils étaient là et qu'ils avaient fait le déplacement. Il y a cette fierté aussi. Tu représentes des couleurs," a déclaré l'ancien parisien.