"L'argument avancé par les deux attaquants était le même : divorcés ou séparés, ils avaient souhaité passer plus de temps avec leurs enfants. Et là, on frôle le foutage de gueule caractérisé. Parce que des pères divorcés il en existe des millions dans le monde. Et puis, quand on émarge respectivement à 4,5 et 9 millions d'euros annuels, on doit pouvoir s'organiser pour faire venir ses enfants. Et puis, on n'envoie pas des photos avec un pote qui va courir le Dakar en moto (NDLR, pour Cavani) ou en boîte flanqué de quatre bombasses latinas (NDLR, pour Lavezzi). De retour en France, la machine à chouiner s'est mise en route," a martelé le journaliste dans une chronique accordée à Direct Matin. Force est de constater que l'on ne peut pas forcément lui donner tort sur ce coup.