Le 17 février dernier, le Paris Saint Germain et Chelsea se quittaient sur le score d'un but partout. Présent ce jour là sur la pelouse du Parc des Princes, Gregory Van der Wiel est revenu sur la rencontre et notamment sur son duel face à Eden Hazard : "Chelsea possède des joueurs de qualité en attaque. Nous avons donc formé un bloc équipe difficile à franchir. Nous avons réalisé un grand travail car ils n'ont eu que peu d'occasions. J'ai du être très proche d'Hazard pour ne pas qu'il joue son jeu parce que sinon vous souffrez face à un des meilleurs joueurs du monde. On en a discuté avant le match avec le coach. Il fallait le presser tout de suite, ne pas lui laisser d'espace et c'est ce que j'ai fait. Leur but vient de mon côté. Terry centre, Cahill dévie le ballon, je ne sais pas s'il savait ce qu'il faisait mais la déviation était parfaite pour Ivanovic qui a pu marquer de la tête. Pour mes partenaires et moi, c'était très décevant. Nous avions le sentiment d'avoir très bien joué avec notre contrôle du jeu. Au final, ils n'ont eu que très peu d'opportunités pour marquer. Sur l'égalisation, c'est une explosion de joie. Tout le stade a exulté, c'était la première fois que je voyais le stade comme cela donc c'était vraiment super. Nous avons eu le sentiment de vraiment bien jouer et nous avons vraiment cru que nous pouvions battre Chelsea. Après l'égalisation, c'était incroyable, nous nous sommes créés beaucoup d'occasions et nous aurions du l'emporter 2-1. Mais Thibaut Courtois est vraiment un gardien exceptionnel, il les a sauvés et, même sur notre dernière occasion, il était encore là pour préserver le score".
Alors que le match retour aura lieu le 11 mars prochain, le latéral néerlandais affirme que les Parisiens pourraient une nouvelle fois poser de réelles difficultés à Chelsea : "Nous devons aller à Londres pour jouer notre jeu, comme lors du match aller. Je reste persuadé que nous pouvons proposer du très grand football et leur rendre la tache difficile chez eux. Nous devons aller là-bas confiants, sans penser à l'année dernière. Juste aller là-bas, marquer un but et l'emporter".