Rejoint à la 77e minute, le PSG a failli laisser deux points en terre baloise. Selon Sévérac, il ne peut s'en prendre qu'à lui-même et son manque d'efficacité. Le journaliste a déclaré : "Une nouvelle fois son efficacité est en cause. Matuidi a ouvert le score à la troisième occasion franche du club de la capitale. Il y en aura au moins deux énormes après, en seconde période. Le succès à Lille l'annonçait, ou le 0-0 plus tôt contre Marseille : cette équipe ne sait pas se mettre à l'abri".
Le journaliste du Parisien est loin d'être convaincu par le coach basque. Il lui reproche notamment de ne pas être en mesure d'influer un quelconque changement sur le jeu parisien. En effet, il a indiqué : "Dans le contenu, on n'a vu aucune différence avec les années précédentes (...) C'est un jeu de possession qui trouve parfois son accélération dans les vingt derniers mètres grâce à un amour de passe de Verratti ou qui concrétise sa domination sur un coup de pied arrêté, un corner en l'occurrence, l'obsession dans le passé de Gasset, l'adjoint de Blanc".
Autre attaque au coach basque : les divergences entre ce qu'il dit et ce qu'il fait, concernant la concurrence. Plus le temps passe, et moins la possibilité de bousculer la hiérarchie semble possible pour les remplaçants parisiens. Sévérac a affirmé : "En reconduisant pour la première fois de la saison le même onze deux fois d'affilée, Emery a éteint toute idée de concurrence. Ses rares titularisations ou ses entrées tranchantes ne permettent donc pas à Rabiot de bousculer le triumvriat du milieu".