Papa aimait le PSG comme un père aime son enfant.
Vous, supporters, comme ses « petits-enfants ».
Comme dans toutes les familles il y a eu des hauts et quelques bas.
Comme dans toutes les familles, on s'absente, on se sépare, on s'éloigne certaines fois. Mais on n'oublie pas.
Papa, malgré sa maladie n'avait pas tout oublié, le coeur n'oublie pas pour qui, pourquoi il bat.
Les médecins nous avaient dit : « A la fin, il ne reste que l'affect ».
Sachez donc, vous tous, tous ces anonymes, comme des cousins éloignés dont on ne se rappelle plus les noms, mais que l'on sait être du clan, qu'à la fin, vous étiez tous là dans son coeur.
De vous à lui il y a eu un lien, intense, profond et sincère.
Vous nous avez prouvé, avec un respect immense, que vos coeurs n'avaient pas oublié.
Merci pour vos soutiens.
Merci pour votre respect.
Merci pour vos hommages.
Merci à vous tous d'avoir été là pour lui.
Lucie et Michel Borelli